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Lignes mélodiques franches et envolées dramatiques émouvantes, une vingtaine de minutes (pour un moyen-métrage qui en compte trente-cinq) d’un classique mais authentique plaisir romanesque pour orchestre assorti à l’occasion des traits solistes d’un piano, d’une trompette ou d’une voix féminine. C’est beau, tout simplement.
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Ambitieuse musique symphonique de 19 minutes pour un moyen-métrage qui en fait le double. Les premiers morceaux installent une ampleur romanesque qui capte immédiatement l’auditeur, grâce à une écriture élégante pour cordes et bois. Une belle et prometteuse carte de visite musicale pour Paillot.
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Du compositeur, je garde en mémoire son très bon score pour Achoura, à côté duquel je peux maintenant ranger cette nouvelle B.O. pour un moyen-métrage. L’ouverture romanesque en diable pose les bases de cette petite merveille musicale. En seulement 19 minutes, il délivre une superbe palette d’émotions. Bref, c’est court, mais c’est bon !
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Moyen-métrage, émotion durable. Si c’est pas écolo ! Paillot séduit avec ce drame de guerre d’une belle sensibilité. Côté pro, rien à dire. Mais quitte à être dur, où est la voix du musicien, le secret de Romain ? Même les inévitables patterns rythmiques répondent présent pour faire monter la sauce… OK mais j’espère mieux !
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Une partition sombre et dramatique, dominée par les cordes et harmonies de cuivres plaquées sur des temps forts. Dommage, car au-delà de ceci, on sent bien une maitrise de l’écriture (et un mixage qui ne fait pas tout sonner comme chez Zimmer !) charpentée autour d’un thème assez fort qui n’évite hélas pas l’écueil des notes éparses de piano.
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Très (trop) brève B.O. pour un drame sur fond de guerre. Le compositeur nous avait charmés il y a quelques années avec l’horrifique Achoura. Il confirme ici avec une belle musique ample toute en sensibilité. Mais c’est un peu court jeune homme…
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