 |
Si le premier volume vous a plutôt laissé de marbre, passez donc directement votre chemin. Pour les autres ce second cocktail exotica aux revisites easy listening tour à tour langoureuses ou virtuoses, dégusté cul sec ou par petites gorgées, se révèle tout aussi ingénieux, pétillant et récréatif.
 |
 |
Je me suis surpris à l’écouter pas mal de fois cet album. Je ne sais pas si c’est le choix des thèmes, les arrangements, l’alcool ou la canicule, mais je l’ai trouvé plus prélassé, plus cool et plus inattendu que le premier volume… Garçon, un troisième cocktail exotique siouplé ! Hips !
 |
 |
Ce volume 2, on s’y attendait… sans l’attendre. Dans la droite lignée du premier, voici un album que l’on prendra plaisir à mettre en musique de fond, lors des soirées entre amis (ou libertines, selon les goûts). Ce n’est pas désagréable, mais toujours aussi vain. Cela dit, MG a bien le droit de se faire plaisir, surtout si en plus il peut gagner des sous !
 |
 |
La recette est désormais connue des fans du petit Michael, les mélodies aussi. Faites chanter la basse et les congas ! Invariablement les popotins se mettent à bouger, les épaules à tanguer, un rideau de soie cosmique vient tamiser la lumière vénusienne, déboule l’apéro porté par une vahiné qui s’avoue toute à vous. À quand le volume 3 ?
 |
 |
Si le procédé continue d’étonner (l’effet de surprise lounge en moins) et décroche le sourire complice de l’amateur qui reconnait ça et là des thèmes de films complètement travestis, il n’en reste pas moins que l’entreprise ne convainc pas toujours, et la faute de goût, avec les languissantes notes de guitare électrique hawaïenne, n’est jamais loin.
 |
 |
L’ami Giacchino de retour avec sa petite compil’ pimpée façon exotique. C’est agréable à écouter mais je n’accroche pas plus que ça au concept, comme le premier opus. Allez, j’augmente quand même un peu ma note.
 |