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Épatante partition d’aventure et d’action dense, rythmée, aux harmonies fouillées et où l’orchestre se distingue tant par son caractère (très cuivré, augmenté de deux pianos, de flûtes à bec et de trois accordéons) que par sa virtuosité lors de nombreux traits fort exigeants. Petites douceurs un chouia hisaishiennes mises à part, c’est le choc !
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Une nouvelle win(ner-s)tory ? Loin des exigences actuelles des blockbusters ciné (flux translucide ou béton teuton), cette B.O. « pour jouer » nous rappelle la possibilité d’une fantasy orchestrale joyeuse, qui chante et respire. Il m’a manqué quelque chose (un thème mémorable ?) pour être pleinement convaincu, mais c’est si bien écrit…
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Cette façon incroyable qu’a Wintory de refuser l’écriture orchestrale verticale, en bloc, sans concessions aux modes du sound design et du minimalisme mélodique, ne cesse de me surprendre. Pourquoi le cinéma ne fait-il pas plus souvent appel à lui reste un mystère. Attendez, je viens de relire ma première phase. J’ai l’explication, je crois…
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Last but not least, ô que non ! C’est bien simple, je suis tombé complètement sous le charme de ce score que j’écoute en boucle. On savait Wintory capable, mais là, c’est le haut du panier, clairement. Pas une plage sans idée et sans passion. Ça me donnerais presque envie de jouer au jeu !
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