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Wintory épate à chaque partition, et c’est bien sûr aussi le cas avec ce score joyeusement barré qui mêle accordéon, musique mexicaine cuivrée, guitare hispanisante, envolées de cordes frénétiques et guitares rock. Difficile donc de rester de glace devant un tel déploiement de vitalité et un enthousiasme juvénile qui emporte tout sur son passage.
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Encore une fois, Austin Wintory impose son savoir-faire et son enthousiasme à trouver des solutions autant singulières que pertinentes. Certes son espèce d’approche western déglinglos et foutraque (orchestre, accordéon, guitares, harmonica, banjo…) ne plaira sans doute pas à tout le monde, mais que cette énergie déployée fait du bien !
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Immédiatement accrocheur, et pourtant difficilement définissable : Wintory jette dans son bac à sable du tango, du folklore asiatique, de l’accordéon, de la guitare hispanisante… et le château qu’il construit ressemble à tous les autres et à aucun. Seul François De Roubaix était capable, il y a quarante ans, de ce genre de pot-pourri.
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OK, Wintory devient officiellement l’un de mes compositeurs préférés du moment. Partant complètement en vrille, il nous offre sa palette généreuse sur un plateau et utilise toutes les inspirations qu’il peut trouver, du western au folklore oriental en passant par l’Espagne. Donnez-lui un bon gros film, bordel !
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Non content d’être d’une constante inventivité, Wintory nous régale ici d’un brin de fantaisie avec une profusion d’instruments ajoutés à l’orchestre pour une œuvre riche et rigolote. Attention toutefois à la durée faussée du disque, certaines pistes étant des doublons avec ou sans narrateur.
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Austin Wintory, tranquille, te balance d’entrée de jeu son accordéon dans la gueule. Sauf que la musique semble se déformer par moment, sans vraiment insister. Puis c’est toute une déferlante déglinguée d’instruments et de musiques fun qui suit. En fait, ce score, c’est de la balle.
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Une collection de vignettes musicales multicolores et carnavalesques, cohérentes par leur mélodies, la variété des timbres offerte et l’enthousiasme communicatif des musiciens (très peu d’électronique ici), qui dégage un entrain réjouissant. La narration rigolote ne gêne pas l’écoute et l’album offre en bonus des versions sans narration.
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Wintory continue d’étonner par ses choix d’orchestration atypique (accordéon, penny whistle, trompette, percussions, cymbalum, sifflement…). Une voix très british ouvre la plupart des morceaux, ce qui pourra, on le comprend, en irriter certains. Mais il serait dommage de s’arrêter à cela : les musiques sont souvent fun et surtout bien écrites.
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