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Un thème principal décalé et inventif diversement décliné, de singulières allusions aux musiques d’époque : si les plages inédites sont dignes d’intérêt tandis que les réinterprétations proposées en bonus sont anecdotiques, c’est le rendu sonore exceptionnel du superbe programme original qui fait la différence.
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Pour avoir récemment revu le film, la musique me semblait un brin redondante, et c’est ce que confirme cette édition CD. Surtout que je n’ai jamais vraiment été sensible au thème, même si l’ensemble est assez sympathique. Quant aux bonus, guère pertinents, ils donnent l’impression d’assurer le remplissage de l’album (hideuses plages 18, 20 et 21).
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De Roubaix, je préfère George De… à François De. Mais de et de faisant quatre, pourquoi choisir ? Sans reprendre précisément le contenu du film, cette édition rend tout son jus à son instrumentarium bigarré et ses mélanges sonores influencés par les années 30. Mon bonbon préféré ? Xavier à la Maison d’Arrêt.
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Que dire qui n’a pas déjà été dit ? De Roubaix, le novateur, l’audacieux, le touche à tout, l’expérimentateur, le mélodiste, profite du ton sarcastique de Giovanni pour faire de Bébel un héros iconique et transgénérationnel. Entre le thème indissociable de l’acteur et les embardées Charleston ou Jazz New Orléans, La Scoumoune est une splendeur.
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On double la mise en niveau de la durée avec cette nouvelle édition, et on améliore nettement le son. Un plaisir que ce petit thème simple et tellement addictif, qui reste coincé entre les oreilles pour un bout de temps. Un score où le génial de Roubaix avait tout fait tout seul. Brillant !
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