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Le thème principal, aussi mélancolique que névrotique, tout à fait typique de l’inventivité de De Roubaix, justifie à lui seul l’album. Le reste s’apprécie d’ailleurs avec le même plaisir, même si l’ensemble offre une expérience d’écoute un peu disjointe. Les chansons bonus en fin de programme sont par contre parfaitement dispensables.
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Voilà une musique vénéneuse qui porte indubitablement la marque singulière de son auteur mais dont on regrettera néanmoins que le poison lent se dilue quelque peu au sein d’un rendu sonore un peu trop variable d’une piste à l’autre. Ça n’empêchera pas les admirateurs de François de Roubaix de se jeter dessus.
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Les innovations musicales portant la signature de De Roubaix – rythmiques détachées, sèches et syncopées, boucles instrumentales, recherche d’originalité sonore – fascinent ici à plein. Reflets parfaits de leur époque, leur audace est pourtant indémodable. Joli qu’une musique à la jeunesse éternelle illustre le mythe vampirique…
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On avait déjà un beau panel des talents du Monsieur grâce à Universal et Music Box. N’empêche que cette nonchalance feinte mais bel et bien teintée de noir vous administre une de ses claquasses dont vous vous souviendrez longtemps. Même les chansons ont leur place.
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Honnêtement, je n’ai pas été plus emballé que ça. Bien sur, il y a le son et la touche De Roubaix, mais l’ensemble manque de cohésion. Le score dans son entier peine à maintenir un intérêt constant. Dommage parce que le thème est chouette, comme souvent chez De Roubaix. Et un conseil : zappez les chansons de fin.
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