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Les reprises du gentillet thème du jeu suffisent-elles à satisfaire les fans ? Car pour le reste, à quelques brefs éclats près, il faut bel et bien se contenter d’une musique tout ce qu’il y a de bêtement générique, pour chœur et orchestre, avec toutes les lourdeurs communes aux blockbusters décérébrés d’aujourd’hui.
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Les chansons, de qualité variable, permettent surtout de refourguer Jack Black, la moitié de Tenacious D, avec la volonté de capitaliser sur le succès de Peaches. Heureusement, le score est là pour nous redonner le sourire, avec une belle musique d’aventure ludique. N’ayant jamais joué au jeu, je loupe sûrement des clins d’œil musicaux.
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[start game] [chansons] [bof] [Mark Mothersbaugh] [blocs sympas] [hard-rock de bac à sable]
[mais] [blocs d’ennui] [trop présents] [assemblage] [trop faible] [pour être solide]
[à son meilleur] [régressif] [c’est vraiment peu] [mais ça console] [de jeux] [boss final] [game over].
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Pour une fois, les chansons, bien rock, sont sympa. Le score, largement orchestral (et même enrichi de chœurs), ne démérite pas et essaie de bousculer une mise en scène paresseuse et un film pauvrement scénarisé. Le pire dans tout ça, c’est que ce film bas du front cartonne au box-office. Tant mieux pour Mothersbaugh.
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Passées quelques chansons bien grasses – même celle de Jack Black, c’est dire – Mothersbaugh déploie l’artillerie lourde, et le fait plutôt bien, ce qui est une gageure vu le film illustré. Des chœurs, des idées mélodiques, du punch. Le compositeur semble être le seul survivant du naufrage artistique.
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