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Comme toujours, l’heure n’est pas à la rigolade chez Marchal. Outre une plage électro qui évoque d’emblée Cliff Martinez, Kermorvant conçoit une nouvelle bande-son constituée de climats pesants et anxiogènes voire agressifs. Peu de luminosité sinon une brume nocturne aux effluves jazzy ou quelques accords d’un piano chaleureux mais las.
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Olivier Marchal et Erwann Kermorvant, voilà des noms qui me font frémir lorsqu’ils sont associés. Et cette nouvelle collaboration ne fait pas exception. Entre noirceur chiante et électro moche, n’en jetez plus, la coupe est pleine ! C’est un excellent compositeur, mais pas sur ce type de B.O., où il ne brille jamais ! Et c’est vraiment dommage.
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Suite de sa collaboration avec Olivier Marchal, ce nouveau 36 œuvre sans aménité dans le polar urbain moderne, avec ses nappes et percussions électro, quelques rares cordes, un saxo pour la tradition (le plus mémorable). Le tout colore adéquatement le film, ma note reflète mon faible intérêt en écoute isolée.
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Quand de la dark techno rencontre les gugusses Reznor et Ross, ça donne un truc pas digne de Kermorvant du tout. Mais faut bien manger…
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Score électro correct – Kermorvant a du métier – qui tente de faire ce qu’il peut pour illustrer cette production Netflix monotone et vaine. On retiendra le thème du début sur une poursuite sous la pluie, scène la plus intéressante de ce Bastion 36. Dommage, c’est la première.
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