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L’ensemble, mené avant tout par Wilbert Roget II, trouve tranquillement sa propre voie, quelque part entre la tradition orchestrale de la saga et le Mandalorian de Göransson. Une recherche sonore permet de teinter chaque planète explorée d’un folklore entreprenant et soigné, et les segments d’action à la Williams sont, dans le genre, punchy et satisfaisants.
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Ce bon Wilbert connaît bien l’univers Star Wars, ayant déjà travaillé pour plusieurs jeux de la franchise. S’il semble souvent partir dans l’inconnu, il arrive toujours à reconnecter son travail à l’ambiance star-warsienne que l’on connaît et aime. Il offre de la nouveauté en s’inscrivant dans la tradition et je dois bien reconnaître que ça fonctionne bien sur moi.
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Au carrefour des tendances obligées (son électro, son Star Wars, son « world », ses clins d’œil thématiques), nos trois hors-la-loi s’en tirent à bon compte avec un melting-pot digne de Mos Eisley, très agréable, coloré, jamais lourdingue. Il faudra sélectionner le meilleur pour éviter l’ennui, mais la base (rebelle) est là.
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Allier sonorités nouvelles, sans s’aliéner, et traditionnelles, sans pasticher… Roget et ses potes y parviennent avec panache et rigueur thématique. Les sonorités westerno-exotiques pour la pègre et les différents mondes, tandis que la trame dramatique lorgne sur la trilogie originale. Bravo.
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Une entrée en matière qui se la joue « modern-cool » avec tous les sons d’aujourd’hui, sur la franchise Star Wars, pourquoi pas ? On l’a déjà vu. La suite est plus classique et orchestrale, avec une tentative, parfois maladroite, de marcher dans les pas du géant Williams en citant quelques motifs et thèmes des anciens films. Mouais.
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Enième démarquage de l’univers Star Wars. Ici c’est un jeu vidéo, mais je dois avouer que ça fait loooongtemps que j’ai lâché l’affaire. Le cahier des charges est simple, on reprend sans y toucher le style Williams et on se permet d’apposer un peu sa patte perso. Pas mal quand le score se fait intimiste d’ailleurs. Classique quoi. Et long.
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