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Des intentions mais pas la conviction de devoir les affirmer avec souffle et panache, les noyant plutôt dans un discours atone où surnagent quelques effets et qui évoque au mieux le minimalisme américain, au pire une bande annonce de blockbuster zimmérien. Dommage, d’autant que les protagonistes féminins inspirent une vraie délicatesse.
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Dans le genre « score pour une énième adaptation d’un classique de la littérature française », il faut reconnaître que Rebotier s’en tire mieux que Guillaume Roussel pour Les Trois Mousquetaires, sa musique s’écoutant bien hors images. Hélas, trop moderne et impersonnelle, elle semble plus illustrer un polar contemporain.
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Emballant, ce Cristo ? De bonnes choses, un motif qui incarne décemment la rage du Comte, mais quid de sa sombre grandeur, d’un vrai romantisme musical ? En quête d’un hypothétique radeau, je me suis vite en-noyé au large de ce château d’If post-Zimmer bruyant mais pas brillant. Vengeance !
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La musique de cette énième adaptation sent le temp track à plein nez. Les « influences sonores » de The Batman de Giacchino et des poncifs zimmeriens ne cadrent pas toujours bien avec le film (lourdeurs atmosphériques, sens de l’épique à la truelle). Restent deux thèmes agréables mais sans imagination. Feel good and bad.
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Un véhicule à Niney qui fait le job en termes de spectacle grand public. Le score n’est mal du tout. Varié, élégant, pêchu. Avec un thème qui lorgne clairement vers Lord Of The Rings. Y’a pire comme référence. Peut être un peu long…
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