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Jérôme Rebotier rythme très agréablement les péripéties de cette aventure, explicitant en particulier une tendresse un brin mélancolique tout à fait réussie, même si on ne peut s’empêcher de juger la partition un peu transparente par ailleurs. Il manque peut-être un soupçon de magie, une idée sonore, un je ne sais quoi qui la rendrait incontournable.
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S’il existe une école française de la musique de film, entre Rombi et Desplat, Rebotier en fait indéniablement partie. Soutier de la comédie dramatique bien de chez nous, il livre ici un score joli, aéré dans ces orchestrations, tiède, mais toujours mélodique, cherchant l’émerveillement, et l’effleurant sans jamais le provoquer vraiment.
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Vous ne connaissez que le prénom ? Après 20 ans dans la jungle du cinéma, Rebotier n’est plus un illustre inconnu. Loin d’un vulgaire colleur d’affiches sonores, adepte des carnages musicaux, il livre une musique simple et sensible. Jérôme, fais-moi plaisir et continue à nous mener au plus près du paradis, car le meilleur reste à venir !
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L’élégance et le raffinement dans l’écriture et l’orchestration font dresser l’oreille, même pour les durs de la feuille. La thématique existe, bien qu’elle ne soit pas forcément très enracinée. Largement illustrative, la composition fera germer votre imagination avec ses instruments frais comme la rosée du matin (célesta, harpe). Dites-le avec des fleurs.
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