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Il est plutôt réjouissant de voir Edward-Francis poursuivre sur la même dynamique que la première saison, même si les ponctuelles références (au LOTR de Shore notamment) paraissent plus frontales que précédemment. Voilà qui n’empêche pas l’épopée musicale de s’affirmer une fois encore, toujours aussi séduisante du point de vue thématique.
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J’avais été séduit par le score de la première saison et celui-ci me ravit tout autant, mais dans un style différent. En effet, moins épique et grandiloquent, il se fait plus tragique. Mais rassurez-vous, le compositeur fait toujours rugir l’orchestre et les chœurs. A noter que l’album, avec ses 62 minutes, est plus resserré que pour la saison 1 (115 minutes).
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Chœur très clair, mixé en avant avec un appui orchestral discret. On s’étonne de ce dépouillement insensé dans le paysage actuel, cet « épique au pied léger » nous rappelle qu’un autre monde sonore est possible. Un score pas extraordinaire en soit, mais lumineux, qui reposera vos caissons de basses.
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Des « emprunts » au Lord Of The Rings de Shore (il y a pires références, c’est vrai) mais l’emploi d’un vrai orchestre et d’une formation chorale ne saurait masquer l’absence de thématique marquante. Même après deux écoutes, je n’ai pas été capable de siffloter la moindre mélodie.
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La première mouture était déjà franchement bonne, et j’ai l’impression que Paul Edward-Francis en avait encore sous le coude ! Épique, mythique et mythologique, une B.O. bourrée jusqu’à la gueule de thèmes grandioses aux chœurs surpuissants ! De l’ambroisie musicale.
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