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Edward-Francis sort le grand jeu, orchestre et chœurs, et assume l’épopée musicale à 200% quitte à ne pas faire dans la demi-mesure lors de nombreux segments ténébreux et même quasiment horrifiques par instants, tout en installant au fur et à mesure une thématique de plus en plus séduisante. Une bien belle et puissante révélation.
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Sans préliminaire, on plonge dans une fantasy sombre, épique et grandiloquente, assaisonnant au goût du jour en le diluant le moins possible ce qu’on aime dans le genre. L’enthousiasme l’emporte largement sur la tendance à trop en faire et on est toujours plus proche de Shore, des Danna ou de Goldsmith que de Zimmer. Presque.
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Avant de lancer l’écoute, munissez-vous d’une baguette de pain. Vous en aurez besoin, tant ce score pour une série d’animation mythologique envoie du pâté ! Orchestre massif, chœurs puissants, ambiances mystérieuses ou intimistes : le compositeur anglais désirait rendre un hommage au Golden Age hollywoodien. Paris réussi. Jouissif !
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Ma maman me disait qu’il faut se méfier de l’arbre qui cache la forêt. Elle avait bien raison. Si je m’étais arrêté aux premiers morceaux, j’aurais loupé quelque chose. Non pas que la musique soit révolutionnaire, mais elle distille de jolis moments, tantôt larger than life (chœurs et grand orchestre), tantôt intimistes, qui caressent agréablement l’oreille.
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Pour resituer une Grèce Antique entre Chevaliers du Zodiaque et Choc des Titans, cette série d’animation bénéficie d’un score maousse très copieusement servi par son édition digitale (115 minutes !). Le compositeur y déploie force cuivres et chœurs, pour un résultat épique assez séduisant car mélodieux. Énergique mais épuisant parfois.
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Pour cette série animée mythologique, le jeune compositeur Mancunien fait dans l’épique, à la manière des vieux scores hollywoodiens du genre, avec une touche de modernité, beaucoup de thèmes et des chœurs déchaînés. C’est très réussi, contrairement au graphisme de la série auquel je n’accroche pas du tout.
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