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On passe vite sur le score synthétique de substitution de North Star, sans âme même par rapport à l’effort orchestral limité mais sympathique de John Scott, pour s’intéresser un peu plus aux aspects afropop de The Great Elephant Escape : soyons honnête, tout cela est de toute manière bien trop cheap pour susciter un réel intérêt aujourd’hui.
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Composé pour la sortie américaine, le score de North Star s’avère sympathique, mais assez insignifiant. Malgré un aspect bien cheap, entre synthés et ambiance carte postale africaine/caribéenne, l’autre B.O. est heureusement colorée et plutôt vivante. Si ce double programme inédit n’est pas inintéressant, il y avait sûrement bien mieux à éditer.
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Remplaçant du score de John Scott aux US, sans l’égaler, la North Star de ce disque dit tout le talent de Rowland pour les pièces intimistes mélodiques, ici parées des couleurs des indiens d’Alaska. Joli. À côté, le Grand Éléphant, avec ses pitreries à la Baby Elephant Walk, ses compos et claviers so 95’, reste sympatoche mais fait baisser la note.
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En prenant presque le contrepied de John Scott pour North Star, la partition rejetée de Rowland assume un minimalisme qui contraste avec le contexte du film. Et si sa musique essaie d’avoir parfois de l’ampleur par quelques éléments acoustiques, ce n’est plus la même limonade avec les éléphants, tout engoncés dans des synthés peu avenants.
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Pas du tout un familier de ce compositeur. Et vu le résultat, ça ne devrait pas vraiment changer de sitôt. C’est quand même super cheap…
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