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Comme à l’habitude, Cirino jongle entre pure sonorités électro et samples instrumentaux. Mais vu que c’est dans la SF et le fantastique que ses manières s’en tirent avec les plus grands honneurs, on ne peut que reconnaître que sa composition se révèle bien plus digeste que bien des pâtés orchestraux actuels pour blockbusters friqués.
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Toujours rigolo d’écouter ce que Cirino a pu bidouiller avec son ordi tard le soir (clope au bec ? en caleçon ? en peignoir ?). Ses thèmes ont quelque chose d’accrocheur et divertissant et c’est encore le cas ici. Mais l’album entier s’avère répétitif. Une suite solide sur un volume 2 de Cinemusic suffirait.
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En digne artisan de la dèche, le brave gars Chucky poursuit son petit bonhomme de chemin de la musique de quatre sous. Si ce n’est pas terrible, quelques plages accrochent pourtant assez bien l’oreille. Je salue à nouveau Cirino, qui arrive à livrer un score plus intéressant et vivant que le sound design de Zimmy, et cela avec bien moins d’assistants.
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Ça vaudrait 2, mais j’ajoute ½ pour la bonne humeur vintage de l’esprit série B : l’affiche aidant, on pourrait presque entendre Van Damme faire un high-kick en lâchant une punchline moisie. Passé l’intro batailleuse, on se perd tout de même vite dans les flonflons de Chuck : ce serait plus cool si on ne s’ennuyait pas.
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Malgré le côté cheap et répétitif, il y toujours un petit truc intéressant chez Cirino. D’abord parce qu’il fait ce qu’on lui demande du mieux qu’il peut (et souvent il peut peu), mais il n’est pas prétentieux. Il y a même un aspect rigolo, voire ludique, dans sa musique. Sympathique mais fauché.
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Et dire que Full Moon sort encore des… films. Et dire que certaines bonnes B.O. ne sortent jamais…
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