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Le grand œuvre de Fiedel, toujours aussi envoûtant et brut. Évidemment, certains trouveront ça pauvre et répétitif, d’autres, comme moi, fascinant et hypnotique. Une des grandes réussites du synthétique 80’s.
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Avec ce score synthétique qui m’a toujours fasciné, Fiedel crée un univers musical poisseux et malsain, d’une grande force évocatrice. Très percussive, pour évoquer le vaudou («Le veau de France, évidemment !» précise mon boucher), cette musique nous plonge au cœur du mal. J’aurais aimé que certaines plages d’Olatunji intègrent le CD1.
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La musique, synthétique et atmosphérique (mais disposant d’un thème), participe à l’aura d’un des rares films non ratés de Wes Craven. On y retrouve par instants les rythmes syncopés du robot tueur venu du futur imaginé par James Cameron. Dommage qu’un tel compositeur termine à tort sa carrière de musicien pour l’image. Désolé.
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Plus de vingt ans que certains fans réclamaient une réédition de la musique de L’Emprise des Ténèbres. Leur attente est récompensée avec non pas un mais deux CD. Et alors ? Ne connaissant pas le film et découvrant le score à l’occasion de cette chronique, je dirais qu’il s’agit là d’une évocation assez réussie du sujet, très marquée 80’s cependant.
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BO culte pour l’excellent film de Wes Craven. Un seul thème, formidable, lugubre et lancinant, et ses digressions, dont une plus solaire. Envoûtant sur les images, plus difficile d’accès à l’écoute. Brad, fidèle à lui-même, nous sert de l’électro. Idéal pour ceux qui avaient raté la galette d’époque.
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