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Décidément le documentaire offre très régulièrement désormais son lot de surprises et de révélations : dès les premiers accords, la partition se révèle séduisante à souhait dans un style charmant, à la fois dynamique et vivant, aérien et frais. En bonus Nichelle « Uhura » Nichols pousse fort bien la chansonnette pour un Fly Me To The Moon enjoué.
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De la musique façon inspirational video pour ce documentaire, visiblement inspirant, sur Michelle Nichols qui se vit confier la mission d’inspirer des jeunes latinos et noirs pour devenir les premiers astronautes issus de minorités. Bref, tout le monde est inspiré sauf le compositeur, qui reprend toutes les pires recettes du genre.
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Compositeur de jeux vidéo et de documentaires, Colin O’ Malley (je ne connaissais que Thomas) propose un beau voyage musical pour illustrer l’action de Nichelle Nichols au sein de la NASA. Envolés exaltantes, chœurs féminins et moments plus sensibles lui permettent de rendre un bel hommage à l’actrice et à la conquête spatiale.
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Ma maman, une femme d’émotion, n’aurait pas été insensible à cette musique de qualité. La tête un peu dans les étoiles, paisible, drôle, lumineuse, optimiste, sans prétention, elle a su me toucher le cœur. Vous pensez que je parle de la musique ? Oui. Aussi.
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Explorant le lien entre la NASA et Michelle Nichols (oui, le lieutenant Uhura de Star Trek), ce documentaire bénéficie d’un score interprété aux samples. Si O’Malley réussit parfois à filtrer avec le son des 80’s/90’s de Voyager et DS9, on préfèrera tout de même se replonger dans les originaux plutôt que de revenir une seconde fois à ces pastiches.
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Etonnante l’histoire de Nichelle Nichols, au-delà de son rôle sur le pont de l’Enterprise. Etonnante aussi la B.O. du compositeur qui évite l’écueil de la musique façon Star Trek sans sacrifier au spectaculaire. On apprécie aussi ses synthés vintage et cette voix féminine toute en douceur, alter-ago musical de l’actrice.
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