Rawhead Rex (Colin Towns)

UnderScorama • Publié le 15/11/2020 par

Rawhead RexRAWHEAD REX (1987)
Compositeur : Colin Towns
Éditeur : Silva Screen Records
Format : CD, LP & Digital
Date de sortie : 30/10/2020

3 out of 5 stars
Florent Groult Craignos monster, certes, mais dont le soutien musical, typique de son époque, a néanmoins encore de sympathique atouts à faire valoir, entre ambient synthétique travaillé et segments orchestraux avenants, témoignant d’un vrai soin apporté à l’affaire. Towns a fait mieux, certes, mais inutile d’être médisant, dans le genre ce n’est pas si mal !
3 out of 5 stars
Pierre Braillon Le film avait consterné son monde à l’époque, et si la musique échappe au goudron et aux plumes, c’est tout juste. Partagé d’une part entre des passages orchestraux rentre dedans et des nappes de synthé so 80’s, d’autre part la gadoue des attaque nocturnes de la bête et des envolées plus champêtres, Colin tire donc à moitié son épingle du jeu.
2.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens Alors oui c’est ringard. Mais il y a un premier degré dans cette kitscherie monstrueuse que je m’autorise à apprécier, que ce soit dans le déchaînement bas du front de l’orchestre ou l’horreur synthétique so 80’s. Ce n’est pas mon genre d’habitude mais là j’embrasse la zèderie avec délectation !
3.5 out of 5 stars
Franck Le Roux Les premières plages donnent vraiment envie d’écouter la suite du disque. Hélas, celle-ci donne juste envie de n’écouter que les premières plages. Colin aurait dû laisser ses synthés au placard, car ils appauvrissent cette B.O. sur la durée. Quelques petites mélopées et le retour de l’orchestre sauvent un peu l’affaire. Un rendez-vous manqué.
3 out of 5 stars
Christophe Maniez Que voilà un score pour un nanar pas piqué des hannetons ! La musique, comme l’a très bien signalé Benjamin dans sa chronique, souffle constamment le chaud (un générique orchestral chanmé et quelques passages vénères) et le froid (beaucoup de synthético-atmosphérique) de manière déconcertante. Pas plus enthousiasmant que ça…
3.5 out of 5 stars
Christophe Olivo Me souviens d’avoir été épouvanté par le film. Un navet cosmique tellement loin de la prose de Barker. Je ne me souvenais pas de la musique par contre, et je suis agréablement surpris. Avec orchestre ou synthé, le compositeur tisse une toile diablement séduisante. Le thème est top !
3.5 out of 5 stars