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Le s du titre pourrait fort bien désigner l’hétérogénéité de cette bande-son aux segments très divers entre guitares électriques rêveuses, piano sentimental, frénésies de cordes, hymnes orchestraux, jazz new yorkais et clin d’œil au Hot Club de France. Parenthèse compilatoire chez Elliot, que ses admirateurs auront pourtant plaisir à découvrir.
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Goldenthal ne sort plus de son ITT que pour honorer sa femme à l’écran. Et l’Elliot massif et bodybuildé d’Alien 3 ou SWAT appartient définitivement au passé ! Il est là, tout maigrichon, faisant tellement de peine qu’on finit par bien vouloir le suivre dans cette promenade, pas désagréable, mais dont le guide est comme absent.
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Ce bon Elliot est évidemment sorti du bois pour composer la musique du dernier film de sa compagne (et muse ?) Julie Taymor. Pour ce nouveau biopic dans l’air du temps, il a réalisé un score faisant la part belle à l’émotion, tout en s’adaptant aux diverses vies, souvent passionnées, de l’héroïne. Court, agréable, mais un peu passe-partout.
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Goldenthal est tellement rare qu’une nouvelle B.O. est un évènement. Micro-évènement en l’occurrence : il y a certes des choses intéressantes, quelques belles envolées, mais c’est trop court et les promesses ne sont pas tenues.
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