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Oui, sur ce genre de projet, Elfman cachetonne, ça ne fait plus aucun doute pour personne. Mais il le fait avec un degré de professionnalisme tel qu’on se laisse volontiers embarquer dans cette aventure musicale colorée et virevoltante, alors même qu’on a déjà plus ou moins entendu tout ça ailleurs. Bref, Elfman, c’est un cador, un vrai.
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Nouvelle (et énième, finira-t-on par dire celle de trop ?) fantaisie elfmanienne pour chœur et orchestre : on ne discute pas le savoir-faire, impeccable et plutôt joyeusement mis en œuvre ici, mais le compositeur donne tout de même l’impression d’éviter toute mise en danger, par manque d’envie ou de projets autrement stimulants.
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Un score qui s’avère être exactement ce à quoi on s’attend en commençant l’écoute. Mais Elfman a une telle virtuosité, soigne tant son écriture qu’il est impossible de bouder son plaisir, et on se sent presque coupable d’éprouver un peu de lassitude en constatant la reconduction de toutes les formules habituelles.
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Waf Wouaf wouaf ! Hihan hihan ! Coin coin coiiin ! Meeeuuuh-rveilleux ! Merci pour vos commentaires, les amis. Du Elfman, comme je l’aime. C’est magique, survolté, charmant et féerique. C’est vraiment dans le fantastique que ce brave Danny dévoile son meilleur potentiel. Je laisse mon chat conclure : « Miaooouu ! ». Bien dit !
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