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Fait inhabituel pour ce genre de production, les chansons sont presque toutes bien, en particulier la superbe All Is Found. Quant au score de Christophe Beck, il fait le job avec efficacité mais sans brillance : on sent le compositeur gêné aux entournures, ce qui n’était pas le cas du précédent opus. A écouter en sirotant une Frozen Margarita.
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Deuxième long métrage et, à l’instar du précédent, ce que propose Christophe Beck laisse globalement… de glace ! Sa partition orchestrale est honnête et plaisante, sans aucun doute, mais sa mécanique tourne à vide, sans provoquer le moindre enthousiasme. Dommage tout de même.
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Dans la lignée du premier, mais sur un mode plus mineur, empreint d’une mélancolie qui constitue l’épreuve d’Elsa dans cette nouvelle histoire, les chansons touchent juste, dans le plus pur style Broadway/Disney, mais sans racoler. Dans le genre, c’est virtuose, parfaitement interprété, et même parfois poignant (All Is Found, The Next Right Thing)
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Si le score réserve de bons gros moments, l’ensemble manque d’un souffle épique. Il flotte surtout une sorte de profonde mélancolie. Quant aux chansons, le niveau est plutôt bon, même si certaines sont passables. J’enrage pourtant sur cette récente manie consistant à séparer score et chansons, lorsque les deux forment un tout. Frustrant !
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Petite déception de la part d’un compositeur que j’apprécie pourtant assez d’habitude. Mais là, son travail, trop balisé et lisse, fait finalement naitre l’ennui et on n’en retient pas grand chose. C’est toujours mieux que les chansons, pauvres et pas du tout inspirées, mais ça reste faible. Ce Frozen II m’a laissé de glace.
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