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Les sempiternelles rythmiques fatigantes et progressions menaçantes, quelques tristes adagios convenus, Ramin fait du Djawadi avec sa subtilité habituelle pour un résultat on ne peut plus fonctionnel qui ne tente à aucun moment de rendre l’expérience du jeu ne serait-ce qu’un chouia galvanisante. Snif…
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Les scores d’action futuriste de Djawadi se suivent et se ressemblent… Beaucoup de percussions, des crescendos en boucle, toujours un peu les mêmes « mélodies » – et quand l’orchestration s’allège, en isolant ici un violoncelle, par exemple, l’émotion est pourtant là.
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Après Kevin Riepl (premier jeu) et Steve Jablonsky (les trois suivants), Ramin Djawadi a donc repris les rênes de cette nouvelle phase de la franchise, démarrée avec l’épisode 4. Pas grand-chose à dire : du bourrin guerrier, de l’émotion, de belles ambiances. C’est carré et ça fait bien le taf, mais on a déjà entendu ça mille fois avant. Tant pis…
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Djawadi, je le confesse, ce n’est pas ma tasse de thé. Mais là, outre le fait qu’un motif me fait beaucoup penser à Doomsday (que j’aime par ailleurs beaucoup) de Tyler Bates, l’ensemble s’écoute sans trop d’ennui, voire même avec de l’intérêt sur certaines pistes. Sa musique, orchestrale avec quelques effets électro, sonne plutôt bien. Sympa.
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Au risque de me répéter, je suis une bille absolue en matière de gaming. Là c’est Ramin Djawadi et on a vraiment parfois l’impression d’entendre un mix entre Westworld et Game Of Thrones. Pas désagréable mais bon…
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« OK Ramin, la recette est simple : une louche de Warcraft, une bonne pincée de Game Of Thrones, un zeste de Westworld, tu mélanges le tout et ça fera parfaitement l’affaire. Tu signes ici et tu paies l’addition ! » Plus équilibré que les albums de GOT, mais moins marquant thématiquement, la musique reste néanmoins sympathique à l’écoute.
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