Bad Times At The El Royale (Michael Giacchino)

UnderScorama • Publié le 15/11/2018 par

Bad Times At The El RoyaleBAD TIMES AT THE EL ROYALE (2018)
Compositeur : Michael Giacchino
Éditeur : Milan Music
Format : CD & Digital
Date de sortie : 16/11/2018

3 out of 5 stars
Olivier Desbrosses C’est toujours intéressant de voir Giacchino se frotter à un genre un peu nouveau pour lui, et profiter de l’occasion pour sortir de sa zone de confort, ce qu’il fait d’ailleurs sans hésitation, livrant un score tout de tension et d’atmosphères, aux timbres et textures très étudiés. Rien de majeur ou de très mémorable ici, mais le job est fait et bien fait.
3.5 out of 5 stars
Florent Groult Climat nocturne, éclairé par des sonorités métalliques, pour guitares électriques et petit ensemble instrumental. C’est assez rafraîchissant de retrouver le compositeur sur un terrain moins familier qu’à l’habitude. S’il n’est pas follement original, évoquant volontiers Burwell ou Beltrami, le résultat est suffisamment maîtrisé et roublard pour interpeler.
3.5 out of 5 stars
Pierre Braillon J’avoue je ne l’ai pas vu venir : pour un film avec des airs de polar ironique situé en Californie (enfin, à moitié…), je voyais déjà Giacchino affûter les médiators et nous ciseler un score hispanisant plein de groove. Macache oualou ! Atmosphérique et incolore, c’est à peine s’il y a même de la musique là-dedans !
2 out of 5 stars
Sébastien Faelens Un curieux opus de la part de Giacchino qui utilise toute sa palette de nuances pour éviter le spectaculaire gratuit et installer une véritable ambiance et une identité musicale. La démarche perd malheureusement de son intérêt, le récit souffrant d’un gros essoufflement pour ne repêcher l’auditeur qu’à la toute fin.
3.5 out of 5 stars
Christophe Maniez L’album commence et se finit très bien. Mais entre les deux, c’est un peu trop atmosphérique à mon goût. Pourtant, Giacchino fait des efforts de timbres et de recherches sonores mais ça ne prend pas trop. Hormis l’ouverture de sept minutes et le dernier morceau de dix, ça patine.
3 out of 5 stars