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De chouettes pièces de jazz big band (globalement les mêmes que dans Cocoon), de la musique cartoonesque façon Honey I Shrunk The Kids, une pincée de mystère et une bonne dose d’émotion pour lier le tout. Sympathique donc que cette intégrale un peu longuette, même s’il n’y a rien ici que James Horner n’ait déjà fait ailleurs en bien mieux.
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Sympathique Horner en mode Cocoon (la recette de base est la même), divertissant mais bien moins fascinant que ce grand frère auquel il se réfère le plus tout en lorgnant aussi gentiment vers des manières développées pour le cinéma d’animation, et montrant également des prémices du futur Honey, I Shrunk The Kids.
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Je ne suis pas très preneur du big band jazz qu’on retrouvera dans Cocoon 2, mais cette belle édition nous rappelle qu’Horner fut de ceux qui nous rendirent nostalgiques à jamais du beau son de l’entertainement 80’s en nous émouvant, nous émerveillant, nous amusant, tout à la fois, même à coup de cymbales ou de saxo, comme ici.
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Une partition assez folle entre Cocoon et Honey, I Shrunk The Kids, entre grandes envolées, jazz et tendresse. Virtuose, drôle et merveilleux : on parle donc ici d’un album qui s’avère quasi indispensable pour tous ceux à qui Horner manque, c’est à dire presque tout un chacun.
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Comment ne pas jubiler quand le Horner des 80’s donne dans le jazz/swing, réminiscent certes de ces travaux antérieurs, mais ô combien entêtant ! Quelle qualité d’écriture ! Quelle émotion ! Tout simplement beau. Ce type me manque beaucoup…
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