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Dès le Main Title, on retrouve toute la verve du King of Cool, qui nous sert ici un thème principal chaloupé à la décontraction renforcée par l’intervention d’un siffleur. L’album alterne ensuite des variations inventives sur ce thème et des pièces d’action énergiques comme le compositeur en a tant écrit à cette période. A la fois mineur et essentiel, donc.
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Ah, la coolitude schifrinesque et ce thème principal à la fois décontracté et entraînant ! Assez court sur disque, ce petit frère de Enter The Dragon a pourtant tout ce qu’il faut pour plaire.
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Régal groovy et libre, pour la première pochade en vedette américaine de Jackie Chan, qui ne le méritait pas ! Rattner s’en souviendra quand il faudra trouver un compositeur pour Rush Hour. Sautillant, insaisissable plus que martial, ce score magique donne une image musicale parfaite de la face la plus sympathique et taquine de Chan.
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The Big Brawl, c’est Schifrin. C’est la coolitude, c’est l’astuce, c’est le sifflotage au top. C’est la classe internationale quoi. Et c’est aussi une édition qui s’est arrachée en quelques semaines, vous n’avez donc pas besoin de lire ce commentaire si vous ne l’avez pas déjà achetée !
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Comment ne pas tomber sous le charme du thème principal jubilatoire, jazz-orchestral funky à la rythmique accrocheuse, et son sifflement nonchalant ? Le reste de l’album, ludique et cool, n’atteint pas les cimes de ce Training Montage (présent 4 fois !), mais demeure diablement addictif et tournera maintes fois sur votre platine.
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