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De la SF vintage, un peu de fantasy, quelques atmosphères de film-catastrophe, et surtout un torrent de groove qui flirte carrément avec l’ADN de Dirty Harry et Enter The Dragon. Une découverte totale donc, à mille lieues de la partition de Johnny Mandel pour le premier volet. Bref, un album absolument indispensable pour tout fan de Schifrin.
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A l’évidence particulièrement stimulé par le projet, Schifrin s’en donne à cœur joie sur ce coup-là, tirant parti de toutes les ressources 70’s d’alors, électronique compris, pour tisser une aventure solide, haute en couleurs, et dont les séquences de suspense et d’action renvoient directement à ses Dirty Harry. Une sacrée redécouverte.
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Cool et groovy comme on l’espère, mais aussi fantastique, horrifique, et toujours malicieux et ludique. Un score comme on n’en entend plus, dans lequel le compositeur s’empare de genres différents, en respecte les codes tout en se les appropriant avec une sensibilité propre. Une écoute délicieuse, et par les temps qui courent, salutaire.
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Honnêtement, j’ai toujours du mal à résister à un score généreux, qui fait bouger mes oreilles aux rythmes groovy des 70’s. Je suis faible. Schifrin prouve qu’il est possible, avec du talent, de développer une ambiance mystérieuse et prenante sans utiliser d’affreuses ambiances synthé modernes. Du grand Schifrin ! Merci à Intrada pour cette pépite !
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