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Pour retrouver un peu de fraicheur, quoi de mieux que de rentrer à la maison ? C’est donc ce qu’a fait le compositeur écossais, plongeant dans ses racines pour en extraire cette délicieuse partition nourrie de musique celtique (et d’un peu de jazz), pleine d’entrain et de joie de vivre, et à laquelle il est difficile de résister. Un bon cru !
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Ecosse, whisky,… Oserais-je affirmer que Doyle et ses musiciens sont on ne peut plus dans leur élément ? Petit orchestre, fiddle, cornemuse, quelques mélodies traditionnelles, c’est léger, souvent joyeux et entraînant, sans autre prétention que de se (et nous) faire plaisir. Et puis un petit score qui donne envie de lever le coude, ça ne se refuse pas…
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S’il met son cœur quelque part, même dans les travaux les plus routiniers, c’est quand on lui donne l’occasion de revisiter le répertoire traditionnel celtique, ce qu’il fait avec une chaleur, un sens de la fête et une envie de le partager irrésistibles. De temps en temps, qu’on est bien, dans une paire de pantoufles longtemps portées.
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Doyle a-t-il écrit sous l’empire de quelque breuvage ? En tout cas il semble avoir pris un malin plaisir à le faire, et nous à y goûter ! Les couleurs celtiques sont attendues, et il en use avec entrain, ne délaissant pas la trame dramatique, sur un ton presque légendaire. Mystère, humour, aventure et émotion dansent ici pêle-mêle. Tavernier, une autre !
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Un Doyle en mode ballade celtique, ça ne se refuse pas. D’autant qu’ici les orchestrations et les mélodies ad-hoc font mouche ! Il y a aussi quelques touches de swing/jazz assez remarquables. On sent que le compositeur s’est fait plaisir et c’est très communicatif. Bravo, mais attendons l’édition d’un CD pour nous réjouir vraiment…
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