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Plus étrange que ce score, chez Elfman, y a pas ! Pour coller à son sujet, le compositeur a choisi une approche électro-soft qui se rapproche même parfois de la musique 8-bits. Le résultat est particulièrement déroutant, parfois amusant, mais aussi bien trop souvent pénible. Reste à espérer que ça fonctionne à l’image, parce que sur disque, pas trop…
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Pour l’essentiel, des textures électro qu’on imagine volontiers choisies avec un soin maniaque de la part d’Elfman : l’ensemble se déploie avec une précision d’horlogerie, la mécanique est parfaitement huilée, et nul doute qu’elle mériterait toutes les attentions si elle n’était pas en même temps aussi lisse, rien ne dépassant jamais dans ce contexte.
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Un peu, beaucoup, déçu par ce délire d’Elfman. Si les deux thèmes sont assez frais compte tenu des autres scores de la même trempe électro-80’s qu’on nous assène à longueur d’année, ils lassent aussi très vite. L’album est donc difficile à écouter sans le film. Uniquement pour ceux qui veulent chaque disque du rouquin.
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En puisant parfois son inspiration chez les autres (Cristobal Tapia de Veer, Trent Reznor), Elfman livre un score sortant quelque peu de ses sentiers et fourmillant d’idées. Curieux et plutôt rafraîchissant même si pas très mémorable.
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Je trouve qu’Elfman s’enlisait dans son style, mais il ose ici mettre un pied hors de son cercle musical intime et nous livre un bidule électro-synth-wave improbable venant de sa part. Sans dire que c’est excellent ni inventif, ça reste agréable à écouter.
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Elfman s’amuse avec ses claviers, baignant ce thriller socio-technologique dans des blips et des bloups très à propos qui semblent presque improvisés. Mais si l’écoute reste fort distrayante et relativement fraîche dans l’univers musical du maestro, on sent qu’il l’a composé d’une main légère, comme on l’écoutera nous d’une oreille légère.
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Un ovni sonore : Elfman en mode synthés avec des idées assez barges. La musique fourmille de petits sons étranges, atmosphère futuriste oblige. Presque toutes les pistes sont rythmés par des cadences régulières, mais tout ce qui gravite autour peut paraitre complètement déroutant. Perso j’ai beaucoup aimé, ça raconte quelque chose…
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