 |
De ce documentaire qui se penche sur l’histoire du marathon de Boston, Beal a tiré une inspiration incroyable : thématique et orchestrale, sa musique est tour à tour puissante, émouvante, enlevée ou tragique. Dire que je ne m’attendais pas une telle qualité d’écriture serait un euphémisme, et cette découverte n’en est que plus appréciable.
 |
 |
Au travers de mélodies entreprenantes, de ces touches d’americana qu’on aime savourer de temps à autre, et en exposant tout un panel varié d’émotions, Beal dresse un portrait très réussi d’une ville et de son marathon, d’autant plus appréciable qu’il nous a jusqu’ici rarement gratifié d’une musique orchestrale à la plénitude aussi aboutie.
 |
 |
Une belle illustration musicale pour ce film-docu. Beal est inspiré et utilise l’orchestre de façon subtile, avec arrangements sautillants et héroïques, sans jamais tomber dans la facilité. A découvrir d’urgence !
 |
 |
Certes, l’écriture est académique, mais renvoie à l’académisme savant ET divertissant de Rosenthal ou Holdridge. Une écriture à la fois légère et riche, douce et détaillée, diverse, vivante, où l’orchestre dans son entier est mis à contribution. Un vrai bonheur à écouter et à réécouter. Merci, m’sieur Beal !
 |
 |
Que voilà une partition symphonique bien troussée ! Pour ce documentaire retraçant l’histoire du marathon de Boston, Jeff Beal a composé une musique qui fleure bon l’americana, parfaitement équilibrée entre moments d’émotion et moments d’excitation, et ce sur près de 80 minutes. Vraiment beau.
 |