 |
Le romantisme élégant et délicat de Patrick Doyle fait toujours merveille sur les sujets de ce type, et le compositeur écossais parvient donc sans effort à mettre à nu sentiments et émotions avec une joliesse de tous les instants. On regrettera cependant qu’il n’ait pas profité de l’occasion pour écrire un thème plus mémorable que celui proposé ici.
 |
 |
Jolie musique mélodramatique pour piano et orchestre de chambre. On a évidemment plaisir à retrouver une fois encore la sensibilité de Patrick Doyle dans les cordes lors des instants les plus lumineusement romantiques. Sans pour autant forcer le trait, sa partition aurait par contre gagné à montrer plus de substance et de densité par ailleurs.
 |
 |
Faut aimer la pâtisserie, genre pièce montée à la chantilly de violons avec gros coulis de cordes qui te labourent les tympans jusqu’à ce que t’en chiales, et après, un peu de piano pour digérer, parce que de toute façon, tu n’es pas venu pour boire une camomille, si ?
 |
 |
Délicatesse et fragilité sont au rendez-vous de cette composition du grand Patrick Doyle, qui, s’il peut parfois pécher par excès, nous propose ici une partition qui vient certainement du cœur mais reste toujours sage. Et c’est totalement gluten-free.
 |
 |
Une dramaturgie romantique exubérante, servie par un orchestre onctueux, presque Barry-esque. Bref, le Doyle qu’on aime, même s’il est ici un peu moins flamboyant dans ses orchestrations qu’il y a vingt ans. Plus léger mais toujours aussi agréablement emphatique. On se laisse emporter d’emblée. Chaudement recommandé
 |
 |
On retrouve ici le Patrick Doyle qu’on aime : lyrique et sentimental. Portée par une inflation de cordes, des bois et un piano romantiques, la musique de Doyle illustre le destin et le mariage d’un homme et une femme de couleur différente dans l’Angleterre d’après-guerre. Touchant et mélodieux.
 |