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Tous les détails les plus typiques des compositions de Newman sont là : ambiances vaporeuses, percussions chromatiques, arrangements délicats et thématique subtile. Effet secondaire : sans pour autant pouvoir pointer vers un titre précis, on a l’impression d’avoir déjà tout entendu, et en contrecoup, la partition manque d’identité.
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Tout Newman, ou presque, en une seule et même partition. Si elle en rappellera donc bien d’autres, celle-ci parvient à séduire une fois encore par ses sonorités recherchées, la variété et la justesse des ambiances. Seul regret, que le réalisateur n’ait pas permis un franc thème romantique (pourtant au cœur du film) qui aurait été la cerise sur le gâteau.
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Plein de bonnes choses dans ce Thomas Newman-là. Le jazz, le scoring pur et l’électro se mélangent en un tout cohérent qui donnent du plaisir d’écoute. Un score solide donc, qui pêche, encore une fois, par sa longueur.
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A écouter le travail de Thomas Newman, il s’agit moins d’un sujet de SF que d’une bluette rigolote. Soit. Mais on a quand même la sensation que le compositeur a copié-collé ses sons (on se croirait parfois en train nager aux côtés de Nemo) et enclenché le pilote automatique. C’est dommage, non ?
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Beaucoup d’électronique subtile et travaillée. Malgré de jolies idées, la musique semble parfois perdre le fil, devenant très lisse comme un documentaire ou une pub hi-tech, pour déboucher sur des effets dramatiques semblant incongrus. Le mixage assez plat et l’orchestre au son factice n’aide pas à donner du mordant. Sophistiqué mais ronronnant.
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La première partie, souvent atmosphérique avec ses textures électroniques, reflète la vie solitaire du personnage incarné par Chris Pratt. Lorsque celui joué par Jennifer Lawrence s’éveille, la musique devient plus tonale mais aussi un peu plus orchestrale. Il faut plusieurs écoutes attentives pour apprécier le travail de recherche sonore.
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