 |
Poledouris évite sans difficulté sensiblerie et niaiserie pour charmer l’auditeur avec élégance. Toujours délicate, sa musique dessine avec grâce un paradis perdu, sublime la romance adolescente du film et se permet même quelques écarts de tension/action comme Basil savait si bien en trousser. Enchanteur et séduisant de bout en bout.
 |
 |
Jolie partition fleurie, colorée, où le romantisme n’est jamais sirupeux et dans laquelle, au contraire, Basil Poledouris prend soin d’injecter une fraîcheur maritime de tous les instants. L’écoute n’en est ici que plus charmante.
 |
 |
Le pouvoir de Poledouris était de créer des mélodies intemporelles, à l’image du Love Theme ouvrant l’album. Comme évoqué dans le livret, on a l’impression d’écouter un ballet, riche en thèmes et en orchestrations. Un véritable bijou, indispensable pour tout amateur. M’enfin bref, c’est ce qu’on appelle de la Musique de Film.
 |
 |
C’est un vrai plaisir de redécouvrir cet opus de Poledouris empreint d’une candeur et d’une fraîcheur juvénile tout à fait charmantes.
 |
 |
Ambitieuse partition « à l’ancienne » regorgeant de réminiscences flamboyantes de l’âge d’or hollywoodien. La musique, continuellement ancrée dans le cheminement narratif, l’émotion des héros tout comme le souci de « peindre le décor », conte une fable amoureuse touchante, à la fois naïve et tenant d’une rêverie légendaire. Délectable.
 |
 |
Cette musique d’inspiration impressionniste et romantique est une merveille. Poledouris a écrit plusieurs thèmes absolument splendides dont celui d’Emmeline, sans avoir recours au moindre synthé. La richesse orchestrale de la partition éclate à plusieurs reprises dans un kaléidoscope de couleurs chatoyantes. Basil nous manque mais sa musique demeure.
 |