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Pas de doute, c’est bien du Japon que proviennent ces guerres estivales : orchestral imposant (certains passages font penser à Godzilla), percussions étranges, électronique un peu cheap et surtout une influence constante du grand Joe Hisaishi, en particulier le piano et les chouettes pièces champêtres et/ou lyriques. C’est dire si c’est bien !
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Ambiances informatiques et mélodies typiques de l’animation japonaise : si Matsumoto s’appuie bien sur un contraste entre tradition et modernité qui forme le cœur du film, jamais finalement il ne confronte les deux directement malgré quelques tentatives chaotiques. C’est là la limite de l’exercice, même si chaque aspect dénote un soin évident.
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Incontournable à sa manière, cette œuvre fait partie d’un ensemble inventif et rafraîchissant qui nous fait voir l’animation japonaise – et mondiale ! – d’un regard captivé, stimulé et enchanté. Séance de rattrapage obligatoire !
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Premièrement, si vous n’avez pas vu ce film, regardez-le , c’est une tuerie. Deuxièmement, la musique assemble des morceaux à la Hisaishi avec d’autres plus moderne et électronique d’un très bel effet. Bref, c’est du très bon tout ça !
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Quel album vivifiant ! L’électronique space, mystérieuse et déconcertante, le dispute à un orchestre jovial et survolté. Pleine de mélodies chaleureuses et de couleurs fluo, la partition dégage à la fois un romantisme naïf et une bizarrerie électro-juvénile… Et bon sang, ce télescopage fait un bien fou. Partez, vous aussi, à l’aventure !
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Pour cette petite merveille de la japanimation, Matsumoto a composé une musique à la croisée des univers électronique et acoustique (l’orchestre symphonique s’y taille une belle part). C’est, à l’image du film, très original, souvent empreint de gaité, mais aussi un peu nostalgique voire onirique. A noter, le travail rythmique sur les synthés assez foisonnant.
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