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Si les sonorités avant-gardistes des synthés du BBC Radiophonic Workshop ont pris un vilain coup de vieux, il est tout de même permis de trouver un certain charme à ces compositions auréolées d’innocence. A réserver en priorité aux fans de The Emerald Forest ou du James Horner de Vibes et de Where The River Runs Black.
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Réédition (attendue ? réclamée ?) d’une partition électronique pour documentaire de l’année 1984… Du tout synthé d’époque qui pique un peu les oreilles d’aujourd’hui, bien entendu, mais si ce genre de considération ne vous rebute pas, il faut bien reconnaître que le travail d’Elizabeth Parker s’avère finalement assez évocateur et digne d’intérêt.
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La série de documentaires date de 1984 et ça se sent. Mais dans un sens plutôt agréable pour tout fana de ce genre de sonorités. Du coup j’ai pris mon pied à l’écoute de cette pièce de musée, composée par la trop peu connue Elizabeth Parker. Bref, je veux un musée de la béophilie.
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Musique de documentaire datant de 1984. La musique électronique de Parker est totalement inscrite dans cette époque. L’exotisme new age, parfois empreint de spiritualité au travers de sons proches de l’orgue, ne manque pas d’une fraîcheur onirique. On se laisse facilement emporter par sa magie simple et naïve.
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Réédition d’une musique écrite pour une série documentaire produite par la BBC à la partition entièrement électronique. Et de l’électronique des années 80, avec des sons parfois très moches… Mais si vous êtes un peu branché new age, c’est assez planant et ça peut le faire…
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