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Les yeux (et les oreilles) bandés, Paesano continue d’apporter à la série exactement ce dont elle n’a pas besoin : de l’électronique générique, au mieux fonctionnel, qui dépasse même parfois l’étroit cadre du papier peint musical sans saveur pour devenir carrément gênant à l’image. Un exploit dont le Diable de Hell’s Kitchen se serait bien passé…
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Je n’ai pas compris, c’est pokopokopok ou dzoiiin tudududum le thème du Punisher ? Bon, en même temps, c’est pas bien grave, je ne comprends rien aux intentions du monsieur. C’est moche, ça pourrait être dans n’importe quel CSI ou autre, enfin bref, c’est franchement naze. PS: demain faut que je fasse des courses.
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Paesano continue avec une esthétique électronique très « dark », entre The Dark Knight et Interstellar (piste 14), voire des couleurs assez proches de Revell. Il y a surtout des motifs et pas de gros thème. L’action est trop pesante et anonyme, mais il y a plusieurs pistes réussies (Raindrops, Sparring) apportant une belle respiration.
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Le score de la saison 1 n’était déjà pas brillant, celui de la deuxième est horripilant ! C’est bruyant et désagréable comme une craie sur un tableau noir, bref, c’est non ! Allez John, zou, au coin ! T’es puni(sher).
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