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Une merveille tour à tour contemplative et emphatique, écrite avec le coeur mais dénuée de tout pathos excessif, qui charme par ses orchestrations délicates, émeut par la pureté de ses thèmes et enchante par son usage occasionnel d’une voix de femme-sirène. La structure de l’album est par contre un peu étrange et aurait gagné à être optimisée.
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Un beau chant de sirène à la ligne franche, bien dessinée, que le compositeur prend le temps de construire, et autour d’elle des émotions simples exprimées avec délicatesse et subtilité : cette musique touche au cœur avec la plus grande sincérité, et on ne saurait trop conseiller de remettre les pistes dans l’ordre du film pour en prendre la mesure.
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Wow…. Il va m’être difficile de m’en remettre avant plusieurs jours. Une vraie claque dans les dents. Par surprise en plus. Laurent Perez Del Mar ne prévient pas et arrive dans vos oreilles pour vous en donner de toutes les couleurs. Une œuvre superbe et mémorable qui aura sans aucun doute sa place dans le top 10 de l’année.
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De la simplicité de cette musique semble découler tout un poème. Un poème décrit par des mots orchestraux français qui nous semblent pourtant tout droit venir du pays du soleil levant. Film comme musique, sincère, pur et touchant. La classe, je trouve.
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J’ai eu un peu de mal avec le tout début de l’album (à cause des vocalises et du ton tragique immédiat). Une fois acclimaté, les qualités de cette partition sensible aux timbres chauds et délicats se révèlent avec bonheur. Intime et poignante, avec ses bois et ses cordes, la musique enveloppe comme un drap doux. Une belle découverte.
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