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Un thème absolument somptueux qu’on ne cesse jamais d’apprécier tout au long de l’album, malgré les nombreuses itérations dont il est l’objet. L’album de 1995, en son temps fort bien construit, est ici enrichi de suffisamment d’inédits et d’émouvantes variations qu’il contentera forcément tout fan de Goldsmith qui se respecte.  |
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Certes, l’irrésistible et lumineux final vaut à lui seul les honneurs (et son propre 5/5) mais, Goldsmith ou non, on peut aussi rester dubitatif devant le cheminement émotionnel particulièrement plat qui y mène. Cette nouvelle édition, rallongée, n’y change évidemment rien. Comment ça, le jugement est sévère ?  |
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Certes, ce n’est pas le travail le plus fou de Goldsmith. Mais le thème, d’un pouvoir évocateur hallucinant, reste l’un de ses chefs-d’œuvre les plus puissants émotionnellement. L’album est par contre un peu long.  |
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Un score assez unique dans la filmo de Goldsmith, dont le sens de la dramaturgie, ici pleinement mis en valeur, donne une incroyable profondeur à une émotion faussement innocente. Moi, du cul-cul la praline comme ça, je veux bien qu’on m’en fasse une tartine tous les jours !  |
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Écrit en plein dans la période où Jerry épurait (simplifiait ?) de plus en plus son écriture, Powder propose un thème presque pastoral, fragile, se faufilant nimbé de textures scintillantes typiques, fuyant une angoisse presque gothique. On y trouve un peu de son style trekkien et Medicine Man n’est pas loin… Complet et pas une seconde d’ennui.  |