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Après un premier album inégal paru en 2015, Carpenter transforme l’essai en retrouvant son inimitable style synthétique, plus proche des musiques qui ont fait son succès au cinéma. Ça s’écoute avec une nostalgie bienvenue, en attendant, pour les amateurs, de voir l’homme en chair et en os en concert à Paris en novembre prochain ! |
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Un deuxième album tout aussi prévisible et inégal que le premier mais qui, pour les mêmes raisons (John fidèle à Carpenter), se suit avec un certain plaisir, lui aussi coupable, sans doute. Que voulez-vous… |
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Contrairement à ce que j’aurais cru, je préfère largement ce second opus, dans lequel on retrouve plus intensément le travail du Big Boss pour ses propres films. Le premier m’avait laissé sur ma faim, celui-ci m’a rassasié. |
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Plus rock et donc plus rythmé que le premier, ce recueil de thèmes pas perdus peut enchanter autant qu’il peut exaspérer. Les formules carpenteriennes font parfois mouche, mais perdent aussi de leur substance tant elles paraissent élimées sans le support filmique. Y a pas à dire, Carpenter est avant tout un cinéaste. |
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Ce second album ne passera pas aussi souvent que le premier. Le son évolue, plus lisse et moins brut et improvisé, penchant vers l’électro pop façon Daft Punk, rappelant un peu trop les hommages à Big John qui ont pullulé ces dernières années. La patte du cinéaste-musicien est là, mais je préfère côté impulsif et direct du premier… |