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Un très beau réenregistrement tout à la fois puissant et nuancé qui permet une redécouverte audiophile sans pour autant effacer l’intensité historique de l’enregistrement original réédité récemment chez La-La Land. En complément, les 80 minutes de suites d’autres partitions guerrières du maître constituent un sacré bonus.  |
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Qu’importe que vous possédiez déjà l’une ou l’autre des éditions originales précédentes, redécouvrir cette superbe et indispensable partition dans un réenregistrement de cette tenue est un tel plaisir que je vous conseille tout bonnement de ne pas vous en priver, d’autant que les compléments sont à peu de choses près tout aussi délectables.  |
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Une nouvelle compilation de chez Nic Raine qui n’aura que très peu d’intérêt pour la plupart d’entre nous, mais fera un beau cadeau pour faire découvrir votre passion.  |
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Encore une réédition de The Blue Max ?! Ah oui, mais non, là c’est pas pareil ! Après les améliorations diverses de son, on virevolte à présent comme si on y était grâce à une réinterprétation impeccable et enlevée. Edition définitive ?  |
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Mais que se passe-t-il ? Le mixage est-il dans les choux ? L’orchestre est en pleine digestion ? Mon dieu, que c’est désespérément PLAT. The Blue Max ne s’en sort pas trop mal, et les premières suites aussi, mais alors les dernières, au secours. C’est Goldsmith, les gars, on se réveille !!!!  |
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« Encore ? » vous dites-vous… Et moi aussi. Et puis, bon sang, la claque ! Ce réenregistrement est impressionnant et permet d’apprécier ce score essentiel dans la carrière de Goldsmith avec un regard différent : l’aspect « spatial », aérien, enveloppant, y est forcément bien mieux rendu. À apprécier tout autant que l’original !  |
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Entre une direction fidèle mais personnelle, une harmonie impeccable au sein de l’orchestre, un tempo respecté, des musiciens inspirés, une prise de son et un mixage bien dosés, voici une réinterprétation sans faille d’une des plus belles partitions de Jerry Goldsmith.  |