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Goldsmith s’est très vite approprié les codes du western pour mieux les torpiller. Au-delà de la remarquable dualité de Take A Hard Ride, entre bricolages électroniques façon BBC Radiophonic Workshop et orchestre aux saillies percussives, il en émane une joie et une vitalité qui n’ont pas pris une ride, d’autant que le remastering de LLL est superbe.  |
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Des intrusions surprenantes de sonorités synthétiques et bien sûr un thème formidable et malléable qui est le moteur d’une partition en tous points dynamique : l’amour de Goldsmith pour le western est une raison suffisante en soi pour approuver comme il se doit la remise en circulation de cette musique.  |
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Tiens, un Goldsmith qui m’est inconnu : l’excitation est à son comble… Utilisant la guimbarde pour instiller une sensation d’étrangeté, le thème, certes classique se découvre et nous plonge dans l’ambiance. Les grands espaces côtoient l’intimité, l’énergique côtoie le sublime…  |
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Je ne sais pas pour vous, mais l’édition FSM me va très bien. La-La Land s’adresse avant tout aux amateurs qui découvriront ce western plutôt fougueux et sympathique de Goldsmith.  |
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Mode décrassage des oreilles avec Goldsmith made in 70’s. La musique est inventive, brillante, dynamique, avec des effets synthétiques du plus bel effet. Mais oui, c’est un western et c’est du lourd, les gars !  |
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L’édition FSM étant épuisée depuis belle lurette, cette nouvelle parution au son amélioré est bienvenue. Le côté western d’exploitation bricolé et bariolé est formidablement retranscrit en musique avec cavalcades cuivrées, rafales de percussions, plaintes d’harmonica et des sons étranges donnant à l’ensemble un cachet assez unique.  |
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Pour ce western plutôt atypique, Goldsmith a composé un score orchestral bourré de trouvailles électroniques, une musique énergique qui bénéficie d’une remasterisation assez époustouflante pour qui a connu l’édition FSM.  |