|
Un thème principal assez séduisant, mystérieux et malléable à souhait, une tension habilement soutenue et des saillies horrifiques soignées mais sans surprise : McCreary vise avant tout l’efficacité, et son score est à ce titre une réussite, d’autant qu’on y retrouve aisément le style du compositeur. Avant tout pour les fans du barbu. |
|
Un score qui lorgne plutôt du côté intimiste de l’Ours compositeur. Carrément poignant sur certaines pistes, le thème glisse le long de l’album comme un fantôme. Les parties horrifique sont convenues, mais assez bien écrites pour ne pas être agaçantes. |
|
L’un des tickets d’entrée de McCreary au cinoche. Malheureusement, Bear nous refile tout ce que l’on a déjà entendu dans le domaine horrifique, sans le supplément de personnalité qui aurait pu faire passer la pilule. Belle chanson néanmoins. |
|
L’album ne manque pas de tenue, avec un thème enfantin insidieux (souvent joué au piano et aux cordes). McCreary s’amuse beaucoup avec la célèbre berceuse de Brahms (dans la chanson notamment). Le mystère et le malaise sont réussis, mais la tension et l’action se reposent trop sur les ficelles habituelles de l’auteur. |
|
Si l’approche esthétique n’a rien d’original, avec ses cordes, son piano et une mélodie principale douce-amère, McCreary parvient sans peine à nous entraîner et maintenir l’intérêt, sauf peut-être dans les passages les plus glaçants. |