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Même si on pense parfois à Desplat à l’écoute du joli thème principal pour cordes, bois et piano, la comparaison s’arrête vite : tout au long de l’album, Henson enchaine variation après variation sur ce même thème, et on finit, comme lui, par tourner en rond faute de diversité, et à s’ennuyer tout en continuant à trouver ça très joli…  |
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Christian Henson a conçu ici un canevas sonore nébuleux, aux motifs évanescents, qui n’est pas sans évoquer certaines manières d’un Alexandre Desplat notamment. Même si le travail est indéniablement soigné, il ne parvient jamais à passionner.  |
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Un album surprenant par sa richesse, pour lequel je n’aurais pas imaginé prendre autant de plaisir. Délicat et prenant, rappelant parfois le travail de Desplat, le score de Christian Henson a de quoi ravir nos oreilles. Vous devriez tenter l’expérience, elle est exquise.  |
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Bel effort d’Henson avec son habituel souci du détail sur les timbres (beaucoup d’effets au piano et aux cordes). Le ton est cependant très dramatique voire dépressif, avec en plus quelques passages tendus… Le premier et le dernier morceau proposent de belles interventions aux bois, regrettablement absentes du reste de l’album.  |
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Dès les premières mesures, Henson jette un sort à l’auditeur. Celui-ci se retrouve, comme le garçon de l’intrigue, englué dans une toile d’araignée. Impossible de s’extraire de cette ronde de cordes et de piano qui enivre à l’extrême.  |