Hateful Eight (The) (Ennio Morricone)

UnderScorama • Publié le 15/01/2016 par

The Hateful EightTHE HATEFUL EIGHT (2015)
Compositeur : Ennio Morricone
Éditeur : Decca Records
Format : CD & Digital
Date de sortie : 18/12/2015

4 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Un retour de Morricone au western spaghetti si cher à Tarantino ? Non, c’est plutôt à mi-chemin du film d’horreur et du thriller urbain qu’on pourrait classer ce score doté d’un saisissant thème principal à la formidable tension, décliné ensuite en de nombreuses variations, comme à l’accoutumée. Chef d’oeuvre ? Non, plutôt un score de petit malin !
4 out of 5 stars
Florent Groult Bien sûr, la « voix » du maestro est unique, son style exigeant, et le thème, inexorablement macabre, de la diligence vaut à lui seul bien des louanges. Les fans ont donc tôt fait de crier au génie, mais il vaut sans doute mieux avouer que celui-ci s’exprime finalement aujourd’hui assez chichement auprès de Tarantino.
3.5 out of 5 stars
Baptiste Brylak Peu importe que Morricone réutilise des pistes venant de The Thing ou autre : on se trouve ici à l’écoute d’un score viscéral et prenant dès les premières notes.
5 out of 5 stars
Sébastien Faelens La rencontre filmique de Tarantino avec le Maestro donne des frissons à l’écoute de cet album respectueux, si l’on peut exclure les dialogues non intrusifs. Fascinant par son caractère macabre, le score original de Morricone vous enfermera dans un sérieux délire claustrophobique. Un choc !
4.5 out of 5 stars
Olivier Galliano Hé ben dis donc… Un Tarantino avec de vraies compositions uniques de Morricone, peu de chansons mais heureusement quelques dialogues histoire de retrouver ses petits. Et le travail de Morricone est franchement bon, on se croirait revenu à la bonne époque des westerns spaghetti…
3.5 out of 5 stars
Milio Latimier Un tableau intriguant, non dénué d’humour noir, aux couleurs sombres surprenantes, sinueuses, toujours éloquentes. C’est aussi un jeu de pistes, car on y trouve bien des traces (sanglantes ?) de ses compositions pour Leone (et d’autres). On jubile à l’écoute de ce piège musical au sourire carnassier. Mortel.
4.5 out of 5 stars