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Loin des tentations de Remote Control, Örvarsson retrouve ici ses racines islandaises, et c’est tant mieux ! Usant d’un instrumentarium réduit (orgue, accordéon, piano et violoncelle), sa musique, épurée à l’extrême, évoque à merveille la rudesse des paysages et des hommes du Nord avec une verve intimiste qu’on ne lui connaissait pas.  |
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Atmosphère hivernale dépouillée, figée par le froid, avant tout distillée par un accordéon et un petit orgue de chœur, et où transpire la sincérité d’un compositeur qui opère ainsi un retour à ses racines familiales. Très personnel.  |
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Aussi austère que le film, la musique d’Atli Örvarsson n’en est pas moins touchante. Bon par contre, sur tout un album, j’avoue avoir un peu de mal.  |
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Surprenante partition pour accordéon, orgue, piano et quelques cordes solistes, elle évoque avec justesse une vie solitaire et dure sur l’île de glace. Austère et funèbre, l’album se révèle presque poignant. La chanson rétro finale apporte une légèreté bienvenue.  |