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C’est un Williams à l’entrain juvénile qui revient aujourd’hui explorer l’univers musical unique qu’il a créé de toutes pièces il y a quarante ans, tissant un canevas riche et chatoyant qui entremêle avec une aisance et une maturité incroyables l’ancien et le nouveau dans un sensationnel tourbillon orchestral. Un véritable tour de force ! |
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Pourquoi ne pas laisser Williams nous guider dans ce nouvel acte et nous emporter à nouveau dans un univers qu’il enrichit bel et bien, avec toute la cohérence requise et les qualités d’écriture qui sont les siennes aujourd’hui ? Libre à vous de (sur)jouer les blasés, mais ne comptez pas sur moi pour abattre ici une carte aussi faible. |
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Après quelques minutes d’écoute, j’avais six ans et une petite larme est apparue. Oui, c’est sans aucun doute un Star Wars digne de ce nom, et non, Williams ne nous a pas abandonnés. Des thèmes, des idées, de l’action orchestrale furibonde, ça m’a donné envie de voir le film, et ce n’était pas gagné ! Mon enfant intérieur vous remercie, Maître ! |
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Du Star Wars plein les pavillons, du Williams complexe qui cause aux neurones : nous revoilà tels des gamins, sourires béats, des étoiles plein les yeux… Mais l’émotion et la réflexion mêlées sont fortes et honnêtement, il est difficile de tout digérer, encore plus de donner un avis raisonnable dans l’immédiat. |
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Difficile dans les Williams tardifs d’être emporté dès la première note. Mais ce Star Wars recèle de bien belles merveilles au détour de l’armada d’instrumentistes pour la Rébellion et surtout du magnifique thème de Rey. Ça promet pour la suite. |
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Ma foi, que dire ? C’est certainement la partition la moins directement jouissive de la saga, avec des mélodies plus discrètes. On a parfois d’entendre un croisement entre Harry Potter et Indiana Jones And The Last Crusade. Pourtant, la magie de la Force est toujours là et on en frissonne de plaisir ! |