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La quasi omniprésence du thème principal, puissamment ou outrageusement romantique selon votre goût pour le genre, reste l’atout majeur de cette présentation de la partition telle qu’entendue dans le film et dont on goûte chaque développement avec plaisir. LLL aurait par contre pu s’abstenir de gonfler le prix avec un second disque de remplissage.
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Williams, maître Jedi des thèmes… et aussi de leurs développements ! Cette réédition avec la version film du score permet d’en faire la preuve indéniable. J’avais toujours laissé cette partition de côté, la considérant comme mineure… Erreur ! C’est un bonheur de charme doucereux. Tchin !
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C’est beau et gracieux, un concentré de romantisme et d’amour. Par contre, ça finit tout de même par être assez soporifique. Le CD 2, avec ses ambiances plus jazzy, réveille un peu. Le type de score qu’on écoute en buvant un cocktail vegan bambou-asperge et en lisant « Silvio Berlusconi, un néo-féministe déconstruit », un essai de Sandrine Rousseau.
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Après l’intégrale attendue – du Williams low key délicieusement rétro voire désuet, ici enrichi pour le mieux – le CD 2 ambiancera vos soirées mondaines sans perturber les bulles de champagne. Quelques perles dans le lot, mais il faut aimer, sinon gare aux nausées. La star reste (In The) Moonlight et ses nombreuses variations.
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Le thème, jouant de l’héritage du Golden Age, est une splendeur à lui seul. Malgré les nombreuses variations, il subsiste toujours un petit sentiment de redite à l’écoute du score. Néanmoins, entendre les prises alternatives dans un registre que, finalement, Williams a peu abordé dans sa carrière, fait plaisir aux oreilles.
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Dans le style romantique, c’est absolument splendide. Williams oblige… Maintenant cette (longue) édition n’évite pas les redites. À conseiller à ceux qui n’ont pas la première édition. Je garde ma galette d’origine pour ma part. Et je savoure.
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