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Même si les compositeurs cèdent parfois un peut trop aux recettes Remote Control à la mode, cette massive partition ne manque pas de qualités. On peut en particulier apprécier l’ampleur de l’entreprise, l’emphase sur l’orchestre et les choeurs et la volonté de créer de nombreux thèmes. Dommage que ce ne soit pas un tant soit peu plus original. |
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Massivement thématique, orchestral et choral : comprendre que les quatre compositeurs envoient du lourd presque en permanence, ne refusent pour cela aucun poncif et ne s’embarrassent d’aucune subtilité ou d’idées sonores pour un tant soit peu ménager du relief. A apprécier en situation plutôt que dans cette sélection bourrative. |
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Deux albums en un. Celui de Jason Hayes et Mike Patti tout d’abord, orchestral, furibond, beau et guerrier. Et puis il y a les morceaux de Neal Acree. Alors il n’y en a pas beaucoup, du coup ça ne fait pas baisser la note, mais évitez-les, parce que là, niveau « je fais du truc à la mode sans âme », on se pose là. |
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Blizzard cultive toujours avec talent une certaine vision musicale de ses univers, sans jamais réinventer la roue. De vrais artisans, qui ont digéré depuis longtemps leurs influences et nous les livrent dans un bien bel écrin. |
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Je me plains des partitions sous influence de Remote Control et celle-ci en fait partie (The Dark Knight, Transformers)… Et malgré tout, elle parvient à complètement dépasser cet écueil pour proposer une aventure orchestrale et chorale massive, colorée, cohérente, enthousiasmante. Le pied ! |