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Une partition 100% Burwell, comme toujours avec le compositeur. C’est donc très beau, délicat et sensuel, avec ces lignes de clarinette si caractéristiques. Mais c’est aussi sans aucune surprise, rappelant bien d’autres scores, tant dans le style que dans la mélodie. Bref, un joli costume à la fois classe et un peu usé par le temps.  |
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Le minimalisme américain est au cœur de cette nouvelle partition, entre accords lentement égrenés, échos de piano et pastiches très (trop) évidents, et pour tout dire carrément gênants, du style caractéristique de Philip Glass. Le soin apporté à l’ensemble est malgré cela réel et l’album comporte également quelques standards d’époque.  |
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Le travail de Burwell m’a toujours fasciné. Et on peut dire qu’il m’a gâté avec cet album d’une beauté époustouflante. En gros, il mérite sa note juste pour le thème d’ouverture. En plus, quelques très belles chansons viennent se poser délicatement le long de l’album dans une logique assez rare.  |
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Encore une thématique forte de la part de Burwell, quitte à se répéter un poil comme dans Mr. Holmes. Il vous faudra aimer Philip Glass également, et programmer votre écoute pour éliminer les chansons, sous peine de trop diluer le score.  |
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Poignante partition emplie d’un romantisme tremblant, à fleur de peau. L’influence de Philip Glass est évidente dès la première piste, dans son caractère cyclique et certains timbres (cordes, bois, piano). On retrouve malgré cela la mélancolie particulière de Burwell. Émotion garantie.  |