|
Emphase sur les cordes, les instruments solistes et la voix (les chansons sont toutes excellentes) : Wintory se place ouvertement en rupture avec le gros son précédemment établi par Jesper Kyd, Lorne Balfe et Brian Tyler. Son écriture précise et inspirée est tout à fait remarquable. Le meilleur score jamais composé pour la franchise d’Ubisoft.
|
|
Écriture chambriste exigeante, dominée par les cordes et favorisant des jeux solistes enthousiastes, ponctuée de murder songs exquises : après Derivière, c’est au tour de Wintory de rehausser substantiellement la franchise par une approche dynamique, créative et ambitieuse. L’un des bandes-son de l’année.
|
|
Il s’agit de l’un des meilleurs albums du mois, tout simplement. Un travail de composition et surtout d’orchestration toujours prêt à nous faucher, des mélodies sublimes et des chansons à écouter en boucle. Le violon solo diabolique qui parcourt tout l’album prend son essor lors des passages d’action, raflant la mise à chaque fois.
|
|
Wintory donne un ton particulier dans le domaine du jeu vidéo, revoit à l’occasion la manière d’en composer la musique, y apportant une philosophie qui, il faut bien l’avouer, manquait jusqu’à il y a peu. Et cet épisode d’Assassin’s Creed ne déroge pas à la règle.
|
|
Un tableau intimiste inattendu avec un orchestre modeste, délaissant le décorum pour les personnages, se concentrant sur certains instruments (violoncelle, violon, piano, voix). Très prenant ! Le score prend un caractère ludique dans ses séquences d’action, sautillant comme des danses de mort.
|