 |
Il faut être à la fois nostalgique des synthés eighties et fan absolu de Silvestri pour pouvoir se plonger sans arrière-pensée dans ce score 100% vintage. On y trouve bien sûr en gestation certaines figures de style typiques du compositeur, mais le résultat est loin d’être passionnant, d’autant que l’album devient vite très répétitif. Pour amateurs.  |
 |
En 1985, Alan Silvestri faisait encore joujou avec ses synthés : il est toujours facile avec le recul d’affirmer que tout cela est bien ringard, mais pour le fan du compositeur comme pour les nostalgiques d’un suspense musical made in 80’s, le tout présente encore un certain intérêt. Les autres s’abstiendront évidemment.  |
 |
Je vais vous surprendre (ou pas), mais je me suis foutrement bien amusé à l’écoute de Cat’s Eye. J’avais un vague souvenir de synthés miteux (c’est le cas), mais bon sang qu’est-ce que c’est fun ! Evidemment, si les synthés de l’époque vous font faire le gros dos, ce n’est même pas la peine de tenter. |
 |
C’est moi ou ça pique les oreilles ? |
 |
Bienvenue dans le mois des compositeurs de talent qui font un peu nawak. On commence avec l’inécoutable et synthétique Cat’s Eye, qui agresse les oreilles. On y reconnait quelques bribes de son style, mais non merci.  |
 |
Bon, il y un petit motif mystérieux qui n’est pas trop mal. Le reste est très pauvre, voire assez désagréable à l’oreille par moments. Il y a des embryons d’idées que Silvestri développera nettement mieux plus tard. |